Ah ça ira, ça ira, ça ira (ou pas)
En France, on a encore des "altesses", ce pipoles qui sont célèbres parce que leur famille l'est, et qui n'ont donc rien à prouver pour accéder au rang de sacré. Charlotte Gainsbourg en fait partie, grâce au talent marketing de son papa. On ne sait pas trop ce qu'elle fait car elle chante d'un filet de voix, elle joue la comédie de temps en temps (même si c'est souvent son propre rôle, voir de loin "Ma femme est une actrice"), elle est moche mais on lui trouve forcément du charme parce qu'elle rappelle tellement son papa et donc on lui pardonne tout en admirant son statut d'Intouchable de la culture. Récemment à la téloche, elle venait parler de la dernière entourloupe de Lars von Trier où elle tient l'un des rôles principaux. On peut presque savoir si un film sera bon à la manière dont les acteurs/actrices en font la promo. Princesse Charlotte a pris soin d'employer les mots creux qu'utilisent les aaaaaartistes pour parler de leurs collègues en des termes qu'ils prétendent poétiques : " je suis tellement heureuse de faire partie de son univers blablabla J'ai beaucoup de tendresse pour lui blablabla Il a su vraiment me pousser pour que je donne le meilleur de moi-même blablabla le tournage était formidable, c'est tellement rare de rencontrer des VRAIS gens". Je pourrais citer un tombereau d'autres inutiles comme Arielle Dombasle qui a encore commis un album , mais ça va virer Voici. Donc voilà.
Opponents of Iran's hard-line president have accused him of trying to buy votes before the June presidential election by handing out checks to the poor.Mahmoud Ahmadinejad's government has defended the payments, saying the checks for 500,000 and 1 million rials — about $50 and $100 — have nothing to do with the election.
It has been distributing the money to poor families — most of them in rural areas and small towns — since last year, and in recent weeks it broadened the distribution to include students and teachers. The government also announced that on May 10 it began making $80 payments to 5.5 million people throughout Iran.
Ahmadinejad's critics have seized on the payments as another opening to exploit one of his biggest vulnerabilities heading into the June 12 vote — discontent over his handling of the faltering economy. They accuse him of using the cash to win votes from people hit hard by rising inflation and unemployment.